Le zèle de l’évangile
J’ai eu le bonheur de servir le Seigneur dès ma conversion.
J’ai fait mes armes dans l’évangélisation de rue, des stands sur les marchés, distribution de colis cadeaux à Noël, dans les hôpitaux, et j’en passe. Je remarque que malgré les décennies passées, mon zèle, mon ardeur, mon dévouement n’ont pas changés.
Je suis plus que déterminée parce que je vois trop d’ignorance sur le monde spirituel qui nous entoure, trop de souffrances dans tous les domaines, et j’en ai marre. C’est toujours le marre, le ras-le-bol de quelque chose qui est le moteur qui va nous propulser en avant, pour enfin sortir de la crise.
Je cherche le Dieu du miracle, de l’impossible. J’ai tout le potentiel qu’Il m’a donné. Je dois comprendre et appliquer chaque jour que Dieu ne va pas faire, mais qu’Il a déjà fait.
Le zèle me porte dans la louange, la reconnaissance, dans le merci. Je crois et j’ai vu, et je verrai la gloire de Dieu.
Philippiens 3 v 12 dit : ce n’est pas que j’aie déjà remporté le prix, ou que j’aie déjà atteint la perfection (non) mais je cours pour tâcher de le saisir, puisque moi aussi j’ai été saisi par Jésus-Christ.
Tenons ferme, ne restons pas sur les acquis, mais allons toujours de l’avant.
Soyez béni(e)s.
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