Je suis mon propre bonheur !
Ma responsabilité n’est pas de rendre les autres heureux, ceux qui m’entourent : mari, femme, enfants, famille, collègues. Je me base sur quels critères ? Un bonheur pour moi, ne sera pas forcément bonheur pour l’autre. Nous voyons tant d’hommes et de femmes qui veulent tout diriger, tout contrôler, croyant détenir la clé du bonheur, grosse illusion d’optique ! Dieu lui même laisse l’homme libre de penser, de faire, de venir à Lui ou pas, de toute façon bien ou mal, nous récoltons ce que nous semons.
Je dépose mon passé, il ne reviendra plus, il me fait souffrir, m’empêche de vivre mon présent et de construire un avenir. Je l’abandonne à Dieu qui me libèrera, guérira mon âme, et me restaurera, n’est il pas le divin médecin.
Je décide de pardonner, tout ce que j’ai entendu, subi, et je porte et apporte un regard positif sur les autres, chacun à une valeur, un potentiel, raison pour laquelle nous sommes tous différente(s).
Mon bonheur ne dépend pas des circonstances mais de la position que je vais adopter, je suis présente pour écouter, aider, faire tout ce que je peux, je vis des situations pas simples, je peux être découragée pour un temps, nous sommes des humains, mais je rebondis et avec Dieu je persévère.
Le bonheur se cherche, s’apprivoise, se prend, se maintient, se garde, et c’est tous les jours que Dieu m’accorde. Ecclésiaste 7 verset 8 dit : mieux vaut la fin d’une chose que son commencement, mieux vaut un esprit patient qu’un esprit hautain.
Il est certain que je préfère ma vie maintenant car j’ai tout en Dieu, et ceux qui vous entourent apprécient votre présence.
Shalom fraternel

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